La fille en "it" ou pas ?

Veille de « notre » jour oblige, je voulais y aller de mon petit post à moi sur les filles et tout ça …

 

Comme je sais que vous savez que nous savons que nous sommes l’être le plus évolué, je n’en ferai pas toute une histoire « polémiquante » à souhaits.

 

Non.

 

Je voudrai que vous fassiez quelque chose pour moi, vous les filles qui d’aventure liront ceci.

Je voudrai que vous vous mettiez nue devant votre glace, que vous preniez le temps de bien la regarder, elle .

Si des machins du genre négatif en éclat fusent, c’est qu’il y a un truc pourri au sein de votre petit royaume et qu’il va falloir sérieusement s’occuper de le mettre dehors une bonne fois pour toute.

 

Vous êtes la personne la plus importante de votre vie.

N’oubliez jamais que l’on vous a donné ce corps et tout ce qui va avec, que vous allez y rester pour de nombreuses années et que par conséquent, autant y vivre à l’aise, sans rien gâter, ni gâcher.

Même si vous n’y croyez pas parce que vous êtes trop ceci ou pas assez cela, qu’il vous faudrait ceci ou encore cela pour arriver à …

 

Heu, nan !

 

Arrêtez de croire que ce qui est valable pour le plus grand nombre est applicable pour vous.

 

La seule chose valable et applicable pour le plus grand nombre est que nous avons toutes les mêmes problèmes de timing : pour la famille, pour le boulot, pour soi et qu’à force de frôler l’épuisement total, un beau jour, on ne se trouve plus vraiment à la hauteur et là, tout dégringole si vite qu’il vaut mieux éviter cela.

 

Il existe des foultitudes de moyens à la système D, puisque c’est indubitablement d’actualités, mais ça, nous les femmes, ça fait bien longtemps que nous pratiquons et abusons.

 

Je voulais simplement en faire la piqûre de rappel, non pas en donnant une liste ou un mode opératoire, juste trois conseils ou quatre :

 

- Arrêtez  d’acheter ce qui est bon pour les autres et sûrement pas pour vous parce qu’après l’avoir essayer, vous serez d’une part, incapable de le vendre sur emachin ou broquantetruc (vous n’êtes pas la seule à vous être faite piéger) et d’autre part, ça va trôner au fond d’un placard ou plus, en vous mangeant la place qui vous manque tant.

 

- Terminez de croire qu’il n’y a qu’à vous que ça arrive « ça » .

 

- Gardez toujours à l’esprit, et j’ai bien dit toujours, qu’il y a une solution à tout.

 

- N’oubliez jamais que vous avez la très grande chance de vivre libre dans votre corps.

 

 

C’est pourquoi, je vous demanderai de regarder la fille dans la glace et d’apprendre à l’aimer, d’apprendre à vous aimer complètement pour ce que vous êtes ; le reste suivra et ira de soi, la « it girl » dont ils nous serinent tant les oreilles et à tout va, forcément, ça deviendra vous, ça sera vous  …

Le mensonge

Je suis comme vous tous ici ou là, je déteste le mensonge .

 

Toi qui viens de me mentir insolemment, effrontément en me regardant bien en face, plongeant tes yeux dans les miens avec une outrecuidance sans borne.

Réfléchis, soupèse, suppute tous ces instants suivants qui feront que ta bouche maintenant devra sortir une certaine cohérence avec ce que tu viens de me dire là.

Car vois tu à bien y réfléchir, l’on n’empêche pas ses lèvres de laisser échapper ces petites mots qui trahissent et si en plus, tes mains exhibent ce qui ne devrait pas être là… Je te laisse imaginer alors ce que moi, je peux penser de tout ça.

Et manque de chance pour toi et manque de chance pour moi, penser paraît-il est ce que je fais en trop.

 

Tu me regardes m’espérant soudain blonde, sans doute.

Je vais la jouer pour te faire plaisir juste maintenant.

Je vais être sublime, je le sais, dans mon mensonge.

 

Et c’est ainsi que s’installe lentement et sûrement une pourriture sans nom qui gangrène de manière lente et insidieuse ce qui est un « nous ».. Celui là va tomber dans un temps passé plus ou moins vite dans le futur et devenir un souvenir rangé.

 

L’on y pensera dix ans après parce que le chiffre interpelle et puis, on oubliera ou tout du moins, on essaiera.

Au final, ce qui est ennuyeux avec la mémoire, c’est que quoiqu’il en soit, ça reste là .

 

« Ce qui me bouleverse, ce n’est pas que tu m’aies menti, c’est que désormais, je ne pourrai plus te croire » (Nietzsche)