Mon cœur languissant, ne se calma qu'à la vue des bateaux s'éloignant toujours plus, toutes voiles dehors, gonflées du plaisir d'encore des souffles coquins mêlés d'embruns.
Et mon âme apaisée s'attacha à dompter le nuage et le chevaucher jusqu'à cet équipage pour découvrir au plus près le magnifique tumulte s'engouffrant dans la toile tendue, n'aspirant qu'au plus loin.
Sentir alors, l'inéluctable soubresaut faisant dresser fier, frêle esquif et voile dissipée dans un improbable ballet.
Ah mon doux ami que de vous savoir loin me berce dans d'étranges dispositions!