Et je regarde par la fenêtre de ce train qui m'emmène loin de toi.
L'usine, trouble de mes pensées obscures, me fait un pied de nez à la Zola m'emportant dans une confusion enrubannée des relents de matin blême, laissant à mon cœur le choix du bord des lèvres qu'il me faut pourtant, sévèrement réprimé.
Fichtre que j'aimerai le vert d'ici, au centuple dessiné sous un bleu hésitant encore sous les assauts taquins d'un soleil impertinent !
Fichtre que j'aimerai en descendant que la porte s'ouvre sur un inopiné avenir charmant !
Mais, balancée dans le cheminement résolument porté en traverses posés, je ne peux que m'enfoncer un peu plus dans mon écharpe qui ne me parle que de toi.
Que veux tu ?
Juste toi.
Commentaires
Magnifique...