L'impératif, que je ne maîtrise pas, me conduit à oublier l'incontournable légèreté de n'être qu'invariable quand en premier groupe, il vient se fourrer.
Il me laisse toujours chancelante de ce désir de plus, de ce « s » qui ne sait poindre et qu'il me faut, inexorablement, oublier.
Accepter la singularité du singulier coller en familier...
Ah bourdon quand tu me tiens, que lasse je suis de cette putain de vie !
Viens, déguise moi en abeille que je m'en butine et cède à l'ivresse, gorgée de précieux nectar !
Bien sûr, il me faudra encore reconnaître la chance d'une vie sans fard.
Ma destinée, celle de la sotte que je suis.