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Petites fictions dans ma réalité ... - Page 118

  • L'écloseur de coeur ...

    Tandis que sur ton sein doucement je dépose

    Ma main espérant t'éveiller, bel endormi ,

    Lentement, à cette heure juste éclose.

    Je m’approche . Murmurer tous ces mots chéris

    Ainsi que tout cœur ardant, épris impose

    Malicieusement à la bouche qui sourit.

    Moi, celle qui en maladresse se régit

    Ne sachant qu’être maison à porte close.

    Bel endormi, ne pourrais tu pas t’éveiller ?

    Bel endormi, ne pourrais tu pas constater ?

    Que ma main tremble, que mon âme explose

    Chaque fois . Eloignant tout ce noir, tout ce gris

    Qui emplissait sournoisement toute ma vie.

    Toi, l’écloseur de mon cœur-bouton, en rose.

    Bel endormi me sourit, il dort à moitié

    Bel endormi me fait rougir, suis repérée.

  • La cerise sur le gâteau ...

    Celui par qui …Elle succomba …

    Un jour, vous, la femme si sûre et si confiante, vous croisez un homme.

    Celui là même dont on ne se méfie pas , dont tout le monde pense qu’il est l’ami parfait : charmant diablement charmant, intelligent exceptionnellement intelligent, drôle anarchiquement drôle. Pas l’Apollon body buildé épilé de prés et encore moins, le macho néo métrosexuel …

    Vous discutez, vous échangez, vous ferraillez. Il vous exaspère, vous bouscule souvent si souvent et immanquablement, vous fait sortir de vos sentiers balisés . Néanmoins, vous aimez tous ces moments avec lui et quelque fois, vous les espérez .

    Et puis . Il y a ce soir, ce fameux soir où les corps empreints de tendresse parlent en maladresse, qui vous supplie de rester sur les chemins d’avant . Cependant, vous vous surprenez à rêver de ses mains sur vous, de votre corps contre le sien, de son souffle sur votre peau. Vous découvrez cette pointe brûlante enfoncée dans votre cœur à chaque fois qu’il évoque d’autres femmes . Vous vous inquiétez de rester sans nouvelles . Vous constatez avec stupeur, la fois où cette voiture a failli vous envoyer définitivement en l’air, que la première personne à qui vous avez pensé là, à ce moment là, ce n’était pas à vos enfants mais à lui !!!! Surprise, surprise … Cet homme s’est insidieusement faufiler dans la moindre parcelle de votre âme et de votre être. Et alors qu’il vous reprend dans ses bras, vous vous laissez faire et emporter par ce tourbillon créé par lui, cet homme impossible, incroyablement impossible .

    Vous voilà dans de beaux draps n’est ce pas ?

    Vous, la femme si sûre de ne pas tomber, non, voler en amour ! Heureusement que dans toute histoire en l’air, il y a un parachute, n’est ce pas ? Et avez vous, bien évidemment , pris soin d’enfiler le votre ?

     Excusez moi, j’oubliais : vous êtes une femme si sûre …