L’homme qui me décontenance, désarçonne, déconcerte, « exacerbeur » de ma maladresse et de ma tendresse.
Mon bel homme pressé, patient, passionné, passionnant ; ici, je te rêve, je t’attends, je t’espère …
Moi, l’attachée à ton âme depuis le fin fond des âges… Je sais que tu es là, quelque part. Il me faut juste te retrouver, me faufiler, effacer les tumultes.
Pour de nouveaux apprivoiser les étoiles, éteindre les soleils, éclairer les lunes ...