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Petites fictions dans ma réalité ... - Page 107

  • L'amour donne des ailes ...

    … Il s’envole vers elle … Elle se jette dans ses bras … Ils tombent en amour … Leur amour les fait avancer .. Les amoureux volent plus vite, plus loin … Tu es ce qui me fait avancer … Tu es le moteur de ma vie … Tu es mon essence de vie …

     

    En fait, ne tenons nous pas ici la clef de notre nouveau carburant ?

     

    En cette période troublée où nous cherchons désespérément à aller de l’avant, à faire fonctionner nos machines, peut être devrions nous simplement baignés en amour, toujours ?

     

    Bon d’accord, je donne dans la "jokerie "puérile mais, après tout, toutes les pistes ne sont elles pas à exploiter ?

     

    Bon d’accord, cela donnerait un joyeux bordel, cependant il faut bien noter que c’est l’adjectif qui changerait, tout !

     

    Bon d’accord, le « à chacun, sa chacune » ne se vérifie pas systématiquement, que feraient les abandonnés du cœur ou encore ceux qui ont peur d’aimer ?

     

    Du coup, je trouve cela moins idyllique, une drôle d’idée d’élitisme sans doute qui repointe son bout de nez …

    Bah, quoiqu’on en dise finalement, on en revient encore à la « sélection naturelle » …

     

    Néanmoins, reconnaissez que ça serait quand même pas mal si chacun laissait son cœur s’ouvrir et s’épanouir …

     

    Quoi ? Pardon ? Ah ! Oui. J’oubliai de « simples humains » …

    Et bien, je vous tire la langue, na !

     

     

     

     

     

     

    Nb : De la musique, oui, en guimauve, oui … (on ne se refait pas en bonne Bridget que je suis)

     

    http://fr.youtube.com/watch?v=BrpypAkABP4&feature=related

     

     

    Nb2 : Ne jamais oublier que la dérision est aussi une façon d’avancer

  • Rêve de Bridget ...

    Mon petit coup de pied mental (ô combien précieux et adorable) m’a suggéré un jour de laisser une chance à « l’homme » qui tente de m’approcher.

     

    Il est vrai que je suis une Bridget bébête, gaffeuse avec une nette tendance à « killer » toute tentative de parade amoureuse. Vous conviendrez que pour trouver son Darcy, ça n’est pas gagné …

     

    Alors, un jour de septembre, la fille s’est mise en mode « aimable » et a accepté un dîner avec un homme rencontré qui lui semblait digne d’intérêt (entendez ici : pas de vernis culturel et pas trop moche avec un sérieux sens de l’humour) .

    Ce qu’elle n’imaginait pas, c’est qu’il vienne la chercher en Porsche, qu’il roule à tombeau ouvert jusqu’à la mer, qu’il l’emmène dans un restaurant vraiment très, très chic … si si … Heureusement qu’elle a toujours la glamour attitude !

    Ca a cassé la magie.

    Il s’est retrouvé affublé d’un nez rouge et d’un truc dans la bouche qui fait « tuuuttt » à chaque fois qu’il parlait.

    Bridget n’aspirait qu’à une seule chose : rentrer … En se demandant si il y avait encore des trains qui rentraient vers Paris à cette heure là …

     

    Bilan de la soirée : un dîner exquis et l’assurance de la fiabilité allemande sur route, à vitesse excessive …

     

    Ca n‘est pas curieux une fille ?

    Sûrement.

    Cependant, j’ai toujours pensé que ça ne servait à rien d’en faire trop et là, franchement, ça dépassait tout, pour moi, en tout cas … Le restaurant, sans doute …

     

    Mais alors que souhaite une petite Bridget ?

    Hum et bien en fait, elle aurait aimé que ça soit « lui » qui vienne la chercher.

    Sur sa moto collés l’un à l’autre, leur cœur battant à l’unisson, ils auraient filé vers cette plage pour un pique-nique sous les étoiles face à la mer … Des mots et un baiser, avec pour seul témoin, la lune ronde et bienveillante …

     

    Bridget, Bridget ! Décidément incorrigible romantique, toujours à rêver …

     

    En tout cas, une chose demeure certaine, je vais avoir du mal à réessayer le mode « aimable » .

    Et puis, de toute façon, l'impénitente romantique que je suis, dit toujours : lorsque ça sera « lui », je saurai et tout ça n’aura vraiment plus aucune espèce d’importance … Chaque lieu, chaque composant deviendront « l’idéal », ce moment à nous, pour nous jusqu’à la fin des temps …