Exquis déliés en forts et doux sautillements
Etreignent tout à coup mon cœur accéléré
Dans ces incroyables tournoiements palpitants.
Chancelante consentante aimée, juste
Délicieuse en toi, de ta main ferrée
Là, au creux de mes reins enfiévrés balancés
Par cette mélopée doucement épicée,
Evoluant par, avec, contre toi, juste
Car tu es l’important, décidant le rythme des pas,
Impérial conduisant en une vibration d’éclat.
Je te suis yeux fermés, bouche entrouverte,
Dans les entrelacs délacés, en offerte
Aux plaisirs soudainement en découverte
De la cavalière en conduite, juste,
Experte au son magistralement collée.
Et oublier l’après.
Savourer en apaisée,
Tous les délices d’un l’un l’autre excellé.
Recommencer, découvrir encore, toujours
En son merveilleux champs, le si bel air d’amour ;
De celui là si … et tant … que les mots, en toute humilité,
Se feront délicatement, magnifiquement, oubliés.
- « Que veux tu ?
- Juste toi. »
http://www.youtube.com/watch?v=7J28KhdB8kE
http://www.youtube.com/watch?v=ydNYPeuvfC0&feature=related
Les deux versions sont à écouter, ma préférence reste ici la première.
Commentaires
Merci toujours pour ce poème. On reverrai d'être le destinataire de tant de beauté .
Merci à vous, merci beaucoup.