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  • Pub ... Pub ... Pub !!!

    Je dis toujours qu’il est important de mettre le doigt sur le talent, pour le montrer cela s’entend, au plus grand nombre …

     

    J’aurai bien aimé afficher ce montage en made in moi là sur ma « page » mais il est résolument bien trop grand et le morceler serait un sacrilège sans nom …

     

    Ce n’est qu’un petit assemblage sans prétention pour vous inciter à aller vous promener sur les pages de ces deux talentueux, associés pour une fois …

     

    Notre belle Corse en vitrail mise en beauté par les bons soins de,

     

    Sébastien DUGUE,  http://www.sdugue-vitrail.book.fr/

     

     

    Et révélée sublimement sous la lumière de,

     

    Michel SITTLER,  http://www.michel-sittler.book.fr/

     

     

     

    (il y a bien sûr le pendentif juste créé par lui se la jouant parce que je le vaux bien, mais ça tout le monde l’a bien vu, aussi… )

     

    Je l’ai déjà signifié ici sur le coin gauche de mon petit blog, ils ont beaucoup de talent et, entre nous, que vous coûtera un voyage en clics ?

    Juste un peu de temps !

    Allez zou , en découverte !

    Invitation aux voyages !

     

     

    Photos vitrail.jpg

    Merci à vous.

     

     

  • L'amour en quête...

    Un jour, l’amour s’envola.

     

    C’était décidé, il avait deux cœurs à retrouver.

    Deux de ceux là prêts à le recevoir et à se reconnaître comme ça, en un coup un seul …

    D’œil, de parfum, de mot...

    Que sais je ?

    En un coup un seul, en tout cas.

    Envisager résolument que celui là serait la dernière vilenie affligée.

    Néanmoins, à bien y réfléchir, nombreux cœurs subiraient une telle affliction pour ne serait ce qu’approcher l’idée d’un sentiment beau et partagé ;  tout du moins, c’est ce qu’il pensait alors, l’amour tout illusionné, en grand naïf qu’il était.

    L’amour donc, prit ses deux ailes et son coup sous le bras et s’en fut battre campagne et ville bien sûr, puisque l’urbain de tout poil, quoiqu’on en dise, était fichtrement d’actualité.

    Force fut de constater que les cœurs ne s’écoutaient plus, qu’ils battaient de ci, de là en se préoccupant uniquement de leurs petites ou grandes pulsions pulsionnant à l’envers de la grande idée de l’amour, galvaudant ainsi, le rapprochement de deux êtres.

    Un espèce de coup de Jarnac à s’en étrangler avec sa fraise, quoi !

    L’amour perdit courage devant autant de légèreté d’égoïsme et c’est en désespoir qu’il se jeta dans le trou profond d’un courant d’air venant à passer, à l’impromptu.

     

    La porte s’ouvrit .

    Il lui fallait se presser, elle était quelque peu en retard sur son timing.

    Le vent s’engouffra dans ses cheveux lui faisant tourner la tête.

    Et là, elle le vit, lui.

    Et là, il la vit, elle.

    Leurs yeux se rencontrèrent.

     

    L’amour encore tout engourdi, frissonna délicieusement…

     

     

    -« Que veux tu ?

    -  Juste toi. »