J'ai l'orgueil de penser qu'à coups de petites attentions, l'intention devient la bonne et ne peut qu'être, tout simplement.
Alors fi de ce pêché là, laissons entrer par la grande porte celui que l'on croît inaccessible.
Quand Isabelle sourit, soudain le monde semble apaisé.
Plus de heurt, plus de larme.
En touches légères, le doux apparaît jusqu’à n'être que le panorama à considérer.
C'est peut être la faille, me direz vous : il faut se souvenir du laid pour ne jamais le voir réapparaître.
Mais que serait petit ange initiateur de bonheur ?
Isabelle est triste et le gris sournois en profite, distribuant salement de mauvais sentiments.
C'est pourquoi avec maladresse, j'écris la joliesse pour que, sans façon, les mots se mélangent à la trame pour dérouler, à l'aise, la sarabande idéale.
Hardiesse aidant, je les multiplie sans cesse, accrochés tels de petites lanternes de ci, de là me faisant parfois la surprise de l'arc en ciel ; l'important, n'est ce pas, étant de retrancher l'indélicat.
La méthode est sans doute prétentieuse, mais je n'ai pas trouvé mieux.
Et puis, en espoir secret, je compte sur vous pour m'aider à réaliser cette fabuleuse gomme car vous aussi, possédez votre pouvoir à révéler pour être, magnifiquement. Nommez le à votre convenance, de joliesse à bienveillance, il est « amour » dans tous les cœurs, ne demandant juste qu'à pousser même de la manière la plus insensée.
Alors, Petit Crayon, mon fidèle compagnon, redresse ta mine et tâte moi goulûment de ce point afin qu'en devenant millions, ils déciment l'imparfait, résolument.
Nb : ne me laisse pas aller au tapage incongru qui la fera rire.
Brel, Jacques :
« Quand Isabelle rit au berceau de sa joie
Elle vole les fenêtres de l'heure
Qui s'ouvrent sur le paradis
Pour se les poser dans le cœur
Belle Isabelle quand elle rit. »