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  • Du bris de rêve à l'agonie de la trotteuse ...Un lien ?

    Lorsque mes yeux se ferment en venant caresser l’espoir secret de ton retour impromptu parce que l’envie de toi me submerge, mes mains s’égarent en délices, tête renversée, corps alangui, offert et souffle court sur notre lit.

    Elles deviennent tes mains en exploration méticuleusement, insidieusement délicieuse sur ma peau soudain si frissonnante.

    Tu n’épargnes aucun replis, tu t’attardes avec une suave insistance sur mes seins, mon ventre… Et alors qu’elles descendent là où l’impétuosité du désir hurle en fulgurante passion irradiante, je t’entends.

    Tu es rentré.

    J’entends ta respiration qui s’accélère.

    Tu es là.

    J’entends le bruissement des vêtements que tu ôtes en toute précipitation pour t’approcher de moi au plus près.

    Tu me rejoins sur le lit.

    Je ne sais pas pourquoi tu es là.

    Je ne sais pas depuis quand tu es là à m’observer.

    Je sais que ta peau est soudain contre ma peau, que tes lèvres s’emparent des miennes, que ton baiser est d’un tumulte délice et provoque un gémissement que je ne réfrène pas.

    Je ne contrôle plus rien, je ne veux que toi, ici et …

     

    BBBZZZZZZiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiPPPPPPPPPPP !!!!!!

     

    Naaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !

     

    Foutu réveil !

     

    Tchrinbzringiiiibepppppp…ppbeppeeu …

     

    Je sens que je vais être d’une humeur exécrable aujourd’hui 

     

     

    Le conseil du jour sera donc soit de mettre rapidement quelqu’un dans votre lit si ce genre de rêve tueur de réveil devient répétitif, à moins bien sûr que cela ne soit votre contribution à la crise et dans ce cas, il nous faut saluer l’abnégation de votre moi profond (faites gaffe quand même à la rébellion des cellules), soit de vous coucher plus tôt et d’avoir, par précaution, une réserve garnie de réveils prêts à mourir d’amour, soit de lui dire que vous l’aimez et que vous ne voulez juste que lui …

  • Question de longueur ...

    Il faut croire que la taille est d’une importance capitale et pour certains, de le souligner est le primordial de chez Primordial Premier Le Grand.

     

    Qui de l’escabeau -talonnettes ou du mouchoir savamment placé ou du rehausse machin (la pluralité déclenchant le «machin» chéri à défaut du « truc » adoré cependant aujourd’hui ici, délaissé (*)  ) n’a pas fait l’expérience confite (ou en dé(s) si vous le voulez) en tantinet ?

     

    Bah oui, vous pouvez hocher la tête et dodeliner ostensiblement avec le petit « grrr » aux lèvres qui va bien, vous n’y couperez pas ; à ce Monopoly là, on a tous payer cher, ou pas, ce passage et d’accord, il y en a encore qui y stagnent en se demandant pourquoi.

    Ca vous revient ?

    Si ça vous fait sourire, c’est que tout va bien.

    Après tout, il est toujours bon de rire …de tout.

     

    Bon, c’est vrai, c’est casse pieds ces histoires de tailles et plus encore, pendant les soldes.

     

    (elle fait quoi là ? )

     

    On va, on vient, on se démène à trouver le machin qui vous ira parfaitement et au bout du compte, échevelée, haletante, transpirante, on se rabat sur l’autre modèle, style second choix, que l’on va enfiler une ou deux fois et qui restera au placard en attendant sa mise sur héhé.jevendsbien.com ou un shake-exchange (**) avec les copines.

     

    Heureusement, en fait, qu’il y a les copines !

    Elle lorgnent toujours de votre côté en soulignant votre bon goût et ne rêvent souvent que du machin dont vous ne voulez plus.

    Finalement, shaker avec elles dans vos vieilles affaires c’est pas si mal, ça fait un bien fou à tout le monde et chacun repart avec ce qu’il convoitait de l’autre ou presque.

     

    (Vous essuyez vous les pieds sur un paillasson inconnu ?  (***)  )

     

    En plus, pendant ces foutues soldes, il faut se décider très vite parce que le coup de cœur à ce prix là, c’est certain, vous revenez demain, envolé le machin convoité !

     

     

    Enfin, c’est ce que je pensais jusqu’à présent et c’est ce que je vais vous conter maintenant…

     

     

    Faire des soldes avec les gens qu’on aime, c’est drôle parce que d’une part, ce sont les gens que vous aimez et que d’autre part, à cause de tout cet amour, ils vous ressemblent étrangement quand au mode opératoire dudit moment so fun : c’est souvent le machin qui tombe sur vous et pas l’inverse, jamais dans la situation « à la recherche du machin pas cher perdu » . Il faut vous faire une raison là aussi, ça n’existe que dans les contes de fées ou les belles histoires-belles

    (et je suis bien placée pour le savoir en matière de mots posés)

    (et ne recommencez pas à dodeliner, réfléchissez et vous verrez qu’il faut toujours négocier) !

    Donc, faire les soldes avec une de vos amies, c’est comme tout ce que vous faites ensemble, un moment bien de rires et c’est là ce qui importe le plus.

     

    Alors c’est vrai que de temps à autre, le machin imprévu arrive sans crier gare et heureusement que vous êtes au moins deux, voir plus jour de délires infinis, pour d’une part, vous en remettre…du choc et d’autre part, en faire des tas sur ce choix … Bah oui, on est comme ça, nous, les filles …

     

    Quelques fois d’ailleurs, il y a un machin qui vous ferait bien plaisir, pas dans votre style, certes, mais que vous pourriez essayer, pour voir …

     

    Quelque fois ce machin imprévu, c’est ça : la mini jupe version 2009 dans l’esprit 70 so british !

     

    Vous vous dites pourquoi pas :

    il y a votre taille (héhé, vous avez du bol) , une cabine d’essayage libre (re- héhé, vous avez un «grand» bol) et si…le prix est dérisoire (re de chez re-héhé, voulez vous un bagagiste ? Oui, tout à fait, car en plus, je ne suis  pas seule) !

     

    Bah oui, c’est vous ça, la grande bringue pas moche en jupe mini –40 cm- dans la glace !

     

     

    Vous refusez l’idée car quand même, ce ne sont que «ces» centimètres, cinq de plus et elle vous suivrait partout c’est certain, mais là !!!

    Vous faites alors le pari, sous bien sûr les commentaires amicaux fichtrement moqueurs, de revenir ultérieurement et si cela doit être, la tite jupe sera encore là.

     

    Après tout, le monde ne s’arrête pas à une jupe courte posée sur soi !

     

    Lorsque vous revenez en découvrant sa présence et son prix encore plus light, vous vous dites quoi au fait ?

    Hé oui …

     

     

    La question du jour sera : doit on mettre un manteau ou une veste avec ses quarante centimètres là ?

     

     

     

     

     

    (*) : Uniquement pour ceux qui ne connaissent pas mes écrits et qui ne savent pas combien du « truc » et de son usage, je suis attachée

     

    (**) : Prendre un nombre X de copines, un nombre Y de leurs fringues à échanger, un temps T, y ajouter boissons et collations légères, disposer le tout dans une pièce adaptée

     

    (***) : Juste pour savoir. Et, si vous suivez l’histoire