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en made in moi - Page 4

  • 15-03-15 / la mi...

    Ne crois pas ce que tu vois.

    Je n'ai pas de possibilités incroyables, simplement une cacophonie infernale dansant dans ma tête qui me fait passer à côté de ma vie, souvent.

    Je pourrai être le rayonnant que je me dois d'être bien caché afin de ne pas brûler ceux qui approchent bien trop prés, risque omis des négligents.

    Pourtant, je voudrai pour une fois que tu remarques ce cœur frémissant pour toi, battant à la démesure de ce sentiment dont tu me crois incapable et qui cependant, ravage mon âme de sa tranquille belle assurance.

    Je reste là, silencieuse et égarée entre les pétales du merveilleux poussé par la magie qui n'est que tienne, faisant fi de toi pour que l'attention se tienne éveillée en parfaite démence.

    Je cavalcade intensément insensée sur mes chemins dont je perds les balises, la bouche amère de t'avoir encore et toujours manqué.

    Je me consume de ces multiples devenant unique centre à effacer, fractionné en dédales que je me dois de poser car tu me veux expansive dénotée, dans une marge bien imitée.

     

    Et je crève de cette ligne coupante comme un diamant exhibé, si froid.

     

    en made in moi

    - "Que veux tu ?

    - Juste toi."

  • Esquisse d'un rêve retrouvé...

    Croire ou pas à ces rêves qui vous surprennent une nuit et que vous croisez en inattendu, au détour d'un clic, en cherchant des informations sur la presqu'île chère à votre cœur.

    J'étais encore au collège quand celui là me cueillit, me laissant l'envie au matin...

     

    La lumière était douce pour cette fin d'été.

    Le vent caressait espièglement les rideaux caracolant, pour le coup, avec les rayons facétieux d'un soleil décidé à laisser dans le cœur de ces touristes, un souvenir inoubliable de ce bout du monde, au grand hôtel de la mer, en presqu’île de Crozon.

    Je me retournai et je vis qu'il n'était plus là, déjà sûrement le pinceau en vadrouille, à capturer à sa manière le merveilleux ou l'insignifiant, et le magnifier.

    Je décidais de rester là dans le moelleux de ce lit, caresser par cette douceur bienveillante jusqu'à ce que l'idée d'une communion plus directe, alanguie sur une serviette, vêtue d'un seul chapeau me fasse résolument sortir vers ce lieu que j'affectionnais déjà pour mes écritures vagabondes.

    Il me surprit ici.

     

    - "Que veux tu?

    -  Juste toi. "

    Alors dites moi, rêve t on sa vie ou l'un de ses possibles ?

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