A muse amusé, par la langue doucement passée, d’user en inopiné le juste point vibrant, je dédie en son entier, les soubresauts malhabiles de ces clics inattendus qui s‘enfilent en impromptu dans l‘incongru cheminement d‘une libre écriture en clavier débridé.
Un jaillissement en bousculade par touches tantôt caressées, tantôt exhortées de conduire, vaille que vaille, à l’issue souhaitée magnifique avec fioritures appropriées.
Découverte, sans doute, d’une nouvelle sorte d’ode à celui que l’on aime, à offrir sans contre façon, estampillée par la grâce des doigts légers et habiles, s’affolant encore de ne pouvoir définir le débat de l’index ou du majeur posé là, sur la bonne touche, belle soudain de se sentir si convoitée qu’elle en deviendrait excessive à s’en doubler sans rosir.
Me mordrai-je la langue si j’osais à l’ouvrage la convoler à juste affaire afin que rien ne soit laissé en désarroi?
Certes, cela pourrait laisser pantois, en ersatz de 3D non maîtrisé dans son maintenu, certes…
Le final, au bout du conte, semblera capharnaüm cacophonique aux yeux du passant dépassé par la biaise brise soudain levée, balayant de concert le cajoleur tumulte à saisir.
Cependant, il n’est de texte en action qui s’en dédit de son ultime point, fusse t il même d’exclamation, car fi de secret pour tout auteur n’est il pas, il faut conclure et advienne que pourra à l’éclat éclatant éclaté en écarlate dans sa chemise en soie.
- «Que veux tu ?
- Juste toi. »