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Eux ...

Les petits amoureux,

 

De la pluie,

serrés amoureusement sous leur parapluie sur leur banc, leur pays d’amour rien qu’à eux.

Du soleil,

enlacés fougueusement sur la pelouse toute proche de leur royaume délaissé juste le temps des rayons harmonieux.

Du vent glacial,

mêlés passionnément dans leurs manteaux amples sur leur siège-banquise à nouveau retrouvé pour leurs instants merveilleux.

 

Je voulais les saluer ceux là que j’ai croisé tout au long de cette année, chaque mercredi vers dix sept heures, toujours enchevêtrés excessivement en tendresse et en amour.

 

Mes petits amoureux à la Peynet, se foutant des passants, seuls au monde au pays de leur cœur éperdument épris, que j’aperçois dés la route traversée.

Et croyez moi, je vous comprends bien plus que vous ne pouvez l’imaginer.

Hum …

C’est vrai !

Suis je bête !

Vous ne me voyez jamais !

Commentaires

  • C'est peut être parce qu'ils ne te voient pas qu'ils sont si beaux...
    Ton texte se regarde, comme une photo de Doisneau.

  • Merci infiniment ...

  • Les amoureux de Peynet sont toujours d’actualité, sous un parapluie, un banc public, ou ailleurs. Brassens les a chantés et lorsqu’on les rencontre
    notre adrénaline amoureuse fuse dans nos souvenirs d’antan pour certains, ou au présent pour d’autres.
    D’accord avec Lidia ton texte chère Arwenn rappelle les célèbres amoureux de Doisneau. Double bravo !
    L’amour à la Peynet ou à la Doisneau demeure toujours aussi beau qu’un gazouillis d’oiseaux…
    Bonne journée en joliesse à la Brassens, à la Peynet ou à la Doisneau.

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